Parmi les 6 précédents recueils de poèmes de Charles ANDRÉ, quelques opinions et critiques…
Il donne ses idées sur les folies urbanistiques, le racisme, la religion (..), envisager la poésie comme une accompagnatrice du quotidien même si elle rêve parfois de belles évasions dans l’imaginaire. (Robert SABATIER, Histoire de la Poésie française)
Poésie souvent grave, tragique, hantée par l’attente de la Mort. Terrifiante, inoubliable l’image de la longue limousine noire et de la jeune femme qui nous invite à monter. Désormais, nous ne pourrons plus imaginer la Mort autrement. Quelle variété de tons, quelle ampleur de registre ! Poète total ! Poète absolu ! (Paul GUTH, homme de lettres, critique littéraire)
Il aborde, avec une tranquille assurance, les thèmes du racisme, de l’urbanisation à outrance, de la guerre, de la religion (..), longue suite de confidences d’un homme que le monde déroute un peu mais qui ne se contente pas de le subir. (J-G. LINZE, La Revue Générale de Bruxelles)
Pas de mièvrerie dans ces textes rythmés où le réalisme le dispute au rêve, la lucidité à l’espérance. La poésie de Charles ANDRÉ n’est pas une simple chanson destinée à nous charmer, elle nous donne à réfléchir dans un style qui n’est pas dénué d’humour ni de fantaisie, comme un contrepoint à l’émotion suscitée. Le sens religieux du poète prend toute sa dimension et donne de la force à une oeuvre exigeante et très personnelle. (X. ELLIE, Lyon-Matin)
Un recueil qui, à l’heure où l’homme se sera “ dévêtu de son corps “ (l’image est belle), apparaitra comme le message chanté par une sorte de nouveau Saint François, lui-même devenu oiseau (J-L. GAUTHIER, La Montagne)
Où Charles ANDRÉ trouve-t-il l’inspiration ? Partout, car il appartient au petit nombre de vrais poètes. La nuit lui confie ses secrets, la fête de Pâques l’incite à la contemplation du Mystère, une fête de charité fait pousser une page à la Prévert (P. SOUDAN, LeMessager de Haute-Savoie)
La poésie de Charles ANDRÉ n’est pas vaine coquetterie mais don, partage et combat. (Paul GRAVILLON, Le Progrès de Lyon)
Car, pour Charles ANDRÉ, “la poésie doit parler à tous “(Le Tout Lyon).
Charles ANDRÉ, d’origine provençale, marié à une lyonnaise, réside dans un village proche de LYON depuis de nombreuses années. Banquier durant 32 ans et Maire de MESSIMY 12 années durant, il consacre actuellement la majeure partie de son temps à l’écriture.
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