Ce livre s’adresse à tous ceux qui sont en quête de réponses à leurs questions sur leur vie passée, présente et à venir. Il propose à ses lecteurs de la regarder non plus par le petit bout de la lorgnette, mais d’oser faire le choix du grand angle.
Stéphanie Bertoldi aurait pu se contenter d’écrire un livre sur le développement personnel, comme il en existe déjà sur le marché… Mais non ! Elle a voulu relever un défi différent, innovant, exigeant et engageant : celui d’évoquer sa propre histoire de vie et les crises qui l’ont traversée pour mieux expliquer son parcours, son
positionnement et sa pratique qui ont fait d’elle une femme épanouie et une professionnelle attentive et bienveillante.
Forte de son expérience vécue et de la façon dont elle a réussi à la transcender, des traditions et sciences ancestrales qu’elle a étudiées, des connaissances acquises en matière de neurosciences et de psychothérapie intégrative, Stéphanie Bertoldi se propose de mettre son Usine À Soi au service de ses lecteurs et des personnes qui viennent la consulter afin de leur transmettre les clés pour ouvrir les portes de leurs possibles et les guider sur le chemin de la vie qu’ils auront décidé de se choisir !
Car ce dont il est question ici, c’est de changer de regard, de passer du fardeau au cadeau et de vivre avec joie et acceptation le Jeu de la Vie !
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Après deux premiers livres* très hauts alpins, Marie-Ange Vinay nous éloigne de « ses » Hautes-Alpes… sans jamais les quitter vraiment ! Les personnages qu’elle met en scène dans ce roman sont confrontés à des événements qui ont réellement touché une vallée, à d’autres qui ont bouleversé le pays tout entier et au-delà.
Leurs histoires sont traversées de flambées de violences, de bouffées d’érotisme qui pourraient un tantinet froisser ses lecteurs habitués au ton plus mesuré, plus primesautier de ses premiers ouvrages. Qu’ils n’en prennent point ombrage car l’auteure confirme ici sa maturité. Dans une langue foisonnante, elle tisse de tragiques trajectoires, mêle ces histoires de vies à l’Histoire, bataille contre l’abandon des villages montagnards… et parsème le tout de franches lueurs d’espoir. Réjouissant !
* Regard d’enfant sur Villar d’Arène autrefois, L’édition à façon, décembre 2009
* Des moutons et des loups, L’édition à façon, juin 2016
L’auteure est née un 1er octobre, quoi de plus banal ! Elle s’est mariée un 1er octobre – encore fallait-il que cette année-là, octobre commence un samedi – et, plus remarquable, elle a accouché de son troisième enfant un 1er octobre !
Alors qu’elle avait déjà commencé ce livre, le 15 juillet 2016 au matin, elle apprend comme presque tous les Français le terrible attentat qui a eu lieu la veille au soir à Nice.
Après toute l’horreur éprouvée, elle réalise que cette tragédie s’est déroulée là où démarre son histoire ! Elle décide de ne rien changer à la trame de son livre.
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Toute création est création de soi écrit Claude Cahun (Lucie Schwob)
Claude Cahun, poète, essayiste, créatrice d’audacieux autoportraits et photomontages, fut depuis l’enfance, l’amie intime de la dessinatrice Suzanne Malherbe qui a collaboré à toutes ses oeuvres sous le pseudonyme de Marcel Moore. Elles formèrent un couple mythique, tel ceux de Gertrude Stein et Alice Toklas, Colette et Missy, Marguerite Yourcenar et Grace Frick, Virginia Woolf et Vita Sackeville-West.
Au milieu des années vingt elles se lient avec les surréalistes mais leur oeuvre reste inclassable.
Durant la guerre à Jersey, où elles se sont installées en 1938, Suzanne et elle mènent des actions de résistance contre l’occupation nazie. Arrêtées, elles échappent de peu à l’exécution
Lucie s’éteint en 1954. Suzanne lui survivra dix-huit années.
Ce journal imaginaire tente de dire Suzanne Malherbe, celle qui fut dans l’ombre, mais sans laquelle Claude Cahun n’aurait pu vivre, ni à Nantes, ni à Paris ni dans la chère échancrure de St Brelade’s Bay à Jersey.
Illustration de couverture : Portrait de Suzanne et autoportrait de Lucie, dessin, 1930.
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Marc de Lucas, polytechnicien et quelques amis des « Grandes Ecoles », ont décidé de créer une « start-up » d’innovation dans les armements spéciaux, I.A.S. Ce qui les passionne, c’est la réalisation d’une cape d’invisibilité, comme celle du petit sorcier anglais, mais sur une grande échelle, pour donner à l’armée française un avantage décisif dans de futurs conflits. Secrètes, ces recherches font naître une convoitise féroce dans les laboratoires rivaux du monde entier qui ne reculent devant aucun moyen pour réduire au silence la jeune pousse française ! Ce sont ces aventures que le roman de Pierre Ludin nous entraîne à suivre de bout en bout d’un récit haletant, parfumé aux senteurs de Provence sous l’oeil majestueux de l’immortel mont Ventoux insensible aux pulsations dérisoires du coeur des hommes !
Le Dr. Pierre Ludin a exercé la médecine orthopédique dans une grande ville universitaire de France. Deux années de chirurgie de guerre en Algérie et pendant une quarantaine d’années, la fréquentation quotidienne de la souffrance, l’ont définitivement installé dans le camp de « l’humain » sous toutes ses formes. Ainsi, dès 1961, soucieux de la protection de la Nature et de l’Environnement, il crée la première association française vouée à cette cause, et fait obstacle au détournement de la basse rivière de l’Ain, une des plus belles de France, programmé par E.D.F. Après un mandat de maire, il fonde la Fédération des anciens Maires et adjoints de France, ardents promoteurs de la citoyenneté responsable auprès de la jeunesse. Désormais retiré sur sa colline du mont Parcieux, il s’adonne à l’écriture. Auteur de trois premiers romans, « les yeux de Malte », « Alcibiade et le Dr. Beaumont », « Les promesses du couchant », il nous livre ici, loin des chevaliers et de C .Colomb, un polar à rebondissements où il a trouvé la gouaille et l’humour de baroudeurs pas trop soucieux des bonnes manières.
Palme d’or du bénévolat, il est chevalier de la Légion d’honneur.
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Fils de Bédouin arrivé en France en 1946 pour travailler dans les mines du Nord, cinquième d’une fratrie de quinze enfants, né en 1955 dans un petit village du nord Isère, l’auteur nous raconte son histoire depuis son premier jour d’école jusqu’au dernier jour de sa carrière professionnelle.
Bien que cancre, il voue un véritable amour pour l’école ainsi que pour ses institutrices. Il finit par décrocher quelques diplômes et il quitte l’univers scolaire pour celui de l’usine. Là, rapidement, on lui fait sentir qu’il n’est pas le bienvenu. Sans trop comprendre ce qu’il lui arrive, il va connaître l’exclusion, les brimades, les vexations, l’abaissement et l’humiliation. En toile de fond, un racisme qui refuse de donner son nom et un antisémitisme sous-jacent. Ce climat fut entretenu au début par quelques personnes revenues marquées par la guerre d’Algérie, puis il fut relayé par la force imbécile et l’obscurantisme. Face à cela, l’attitude qu’il adopta fut la patience, le silence et aussi l’humour.
Dans son travail, toujours en quête de l’excellence, il va tenir plus de quarante-quatre ans dans cette ambiance délétère. Toutes ces années durant, il va aussi connaître des êtres qui vont lui tendre la main. Éclairé par leurs soutiens et animé par l’espoir, il va réussir à surmonter tous les obstacles. Durant toute sa carrière, il a su garder son cap, dans l’esprit de l’entreprise. Jamais il ne s’est plaint. Il sut tirer des leçons de ces épreuves et il est sorti grandi de cette expérience, portant en lui une admiration ineffable pour ses employeurs.