D'aphonie à zen, questionnement, esquive, regards ou jalon, Norlane Deliz façonne ses ressentis dans l'argile des mots et dit sa terre, ce qui naît des émotions et des rencontres, ce qui tient, ce qui entaille, ce qui envole. Après Cajoleries aguicheuses, poésie sensuelle aux éditions du Manuscrit (2009) et Le coeur capitaine d'une funambule, poésie intime accompagnée de collages, en autoéditions (2010), Dire ma terre continue d'explorer la vie en poésie.
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