« Arjolou et les vœux de Noël » :
Un livre à offrir pour un voyage poétique au cœur du Nuage des Rêves…
Françoise Morot-Sir nous parle de son parcours « j’ai commencé à écrire dans le cadre de mon activité professionnelle : j’anime des ateliers d’écriture pour enfants de 7 à 11 ans en milieu scolaire. J’aide les élèves à la création de formes littéraires très variées : poèmes, slams, récits, contes, pièces de théâtre, journal de l’école, etc… Ce travail a été souvent publié dans le cadre de la semaine de la Francophonie (Caravane des dix mots), et a été récompensé par le Prix Varenne des journaux scolaires en 2012 »
Le résumé
Arjolou est un petit lutin tout blanc. Il vit au Pays des Neiges... Ce pays se trouve au coeur du Nuage des Rêves... Pour trouver ce pays, il suffit de se laisser guider par ses rêves ! Arjolou est envoyé en mission par son Roi, pour redonner de l'espoir aux hommes de la Terre. Il va rencontrer des enfants qui ont dans leur école une famille de sans-abri. Grâce au petit lutin, ils vont envoyer leur voeu dans un nuage de neige un peu spécial, et ce qui semblait impossible devient possible, pendant la nuit de Noël : la famille sera hébergée et secourue !
Françoise Morot-Sir a publié un recueil de poèmes : « Poèmages et Graffirime ». Pour les enfants, elle a écrit « Voyage dans un livre de cuisine » et « Voyage dans une cabane magique » dans la collection « C’est quoi ce délire ? ». Et maintenant, « Arjolou et les vœux de Noël », dans la collection « Raconte-moi Noël » qui aura une suite … l’année prochaine !
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Librairie 36 Grande Rue
L’histoire est celle de Smesny, clown génial qui mourut en compagnie de 480 enfants internés dans le camp de Terezin, puis exterminés la veille même de la libération du camp par les forces alliées.
Les responsables, pour un dernier baroud de I’ horreur, exécutèrent pratiquement tous les enfants encore internés dans les baraquements de bois du campement.
Smesny mourut sans savoir que ses propres enfants avaient été exécutés avec plusieurs milliers d’autres enfants, juifs, tziganes...
A-t-il tenu un journal, nul ne le sut jamais.
Puisse ce texte rendre compte des souffrances d’un homme
qui un jour pleura en une ultime grimace.
Jacques Bruyas