Mix & Délices est un livre de 80 recettes mixées élaborées avec 30 grands chefs cuisiniers, préfacé par Paul Bocuse. Il propose des idées de saveurs et de présentations de mets gastronomiques pour vos apéritifs et repas de fête. Les recettes régaleront les papilles de tous vos invités, y compris les personnes fragilisées (en raison d’un handicap, de l’avancée en âge ou d’un accident de la vie).

Au menu : velouté de betterave au fromage de chèvre ; milk shake concombre, crème fraîche et saumon fumé ; soufflé de Saint-Jacques ; agneau confit, caviar d’aubergine, confiture de tomate au gingembre et coriandre ; parmentier de jarret de veau braisé ; gaspacho de poires et glace vanille, mousse au chocolat et framboise à l’anis vert…et bien d’autres recettes.

Bon appétit !


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Ce livre d’éveil musical présente une méthode originale. Il s’adresse aux enfants, dès l’âge de 4 ans, qui pourront, à travers l’histoire du jazz, découvrir les sons, le rythme, l’éveil corporel et l’improvisation.

L’apprentissage de l’enfant évolue autour de l’histoire du Jazz auquel est associé un style musical remarquable dans lequel il pourra à la fois chanter, frapper le rythme, improviser autour d’un thème, découvrir les instruments de musique et jouer en groupe.

Ce livre accompagnera les professeurs de musique dans l’élaboration de leurs programmes d’éveil musical, les professeurs des écoles souhaitant enseigner l’histoire en musique, les parents désireux de faire découvrir la musique à leurs enfants tout en abordant des valeurs essentielles telles que la tolérance, la différence.

Jaklyne Guedj, professeure en Jazz et Musiques Actuelles, enseigne le chant et l’éveil musical depuis près de 14 ans dans plusieurs structures de la région grenobloise. Elle est également auteur-compositeur interprète.


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Quelle belle époque que celle de notre bon roi Henri !
Rien n'est jamais parfait sur cette Terre, mais pour la première fois sous son règne le côté humain l'a emporté sur le profit.
Henri ne voulait pas de richesses, mais il désirait la paix et l'amour.
Ce sont ces deux mots qui par leur puissance devraient nous guider sur le chemin de la vie.


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Introduction
Poursuivant ses recherches sur les monuments publics des communes du canton de Saint-Laurent-de-Chamousset, la commission Histoire s'est intéressée, après les monuments aux morts et les mairies, aux écoles depuis leur apparition dans les villages jusqu'à nos jours.

Cet édifice, dont la fréquentation est désormais obligatoire, a cependant mis longtemps à imposer sa silhouette dans chaque commune. Auparavant, en effet, les instituteurs et institutrices enseignaient, moyennant finances, dans une pièce (voire l'unique pièce) de leur appartement. Puis sont venues des congrégations religieuses qui enseignaient gratuitement les rudiments aux élèves qu'on leur envoyait. Ce n'est qu'après les nombreuses lois du XIXe siècle et la persévérance des préfets, que l'école élémentaire étant devenue laïque, obligatoire donc gratuite, les municipalités, souvent au bout d'une longue résistance , décident que leur construction au sein des villages voire dans des hameaux trop éloignés comme à Albigny.

Mais que de changements sont intervenus depuis ces grandes lois scolaires ! Au fil du temps, la demande d'enseignement s'est étoffée. Quand il commençait à sept ans et se terminait à treize ans par l'examen du certificat d'études, il s'ouvre aujourd'hui à trois ans par des classes maternelles et dure jusqu'à seize ans après des parcours diversifiés pouvant se poursuivre (comme autrefois mais beaucoup plus massivement) dans les lycées jusqu'au baccalauréat puis au-delà, à l'Université et dans les grandes écoles. Le canton a donc augmenté le nombre de classes dans chaque école primaire et s'est doté d'établissements spécialisés (ateliers de La Giraudière, maison familiale des Halles puis de Saint-Laurent-de-Chamousset) et secondaires (Cours complémentaires, C.E.G. puis C.E.S. de Sainte-Foy-l'Argentière et de Saint-Laurent-de-Chamousset). Au-delà, il faut se rendre aux lycées de Feurs, de Chazelle, de Saint-Symphorien-sur-Coise, de Tarare ou de Lyon, dans les universités de Lyon, de Saint-Etienne ou d'ailleurs et dans les grandes écoles le plus souvent concentrées dans la région parisienne mais pas toujours (ainsi des écoles normales supérieures de Lyon). Certains villages ont donc des établissements scolaires de différents niveaux. ...


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