Poèmes : Charles André
Peintures : Claude Leclercq
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... On naît quelque part, et parfois on vit ailleurs.
Aujourd'hui encore, incroyablement, face aux choses établies la différence fait peur.
... On grandit parmi d'autres, doté de ce que l'on a et de ce que l'on nous donne.
Aujourd'hui encore, incroyablement, face aux choses établies le changement dérange.
... Les années passent monotones, les visages des saisons sont figés dans des couleurs convenues.
S'accommoder aux choses établies ou chercher l'harmonie ?
... Alors pour ne pas trimballer une culpabilité lourde à porter, la maladie s'en même pour nous aider à accomplir notre propre destin. Sauf que..., avoir la force d'accepter le cataclysme pour être mieux avec soi-même perturbe aussi, différemment mais réellement, la faiblesse des choses établies. Les visages des saisons s'animent et prennent d'autres couleurs, mais l'insatisfaction demeure.
Les choses établies sont tenaces parce qu'elles sont suivies par le plus grand nombre. Mais est-ce le meilleur critère pour dire que c'est la vérité ?
Entre les certitudes et uns et les doutes des autres, il semble que le monde, tel "Ouroboros" le serpent qui se mord la queue, est prisonnier, depuis la nuit des temps, de ses défauts entretenus, trop difficiles à dompter, sources de conflits et de malheurs.
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Alors que le printemps fleurit, une jeune femme est retrouvée sans vie.
Un enfant sans mère et sans mots atterrit chez Josy.
Menant son troupeau le berger solitaire délire sous la Sainte-Baume.
Le commissaire Gauthier mène son enquête de Provence en Bosnie.
Etrange recherche de vérité par delà les silences des uns créant la chute des autres, où la corruption salit et où l’on voit que le vin tache.
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Le garage que j'avais investi pour en faire mon bureau d'écriture n'était pas chauffé, et c'est emmailloté jusqu'au nez que j'ai tricoté ces petits fantômes qui sont restés endormis quelques années entre pile de bouquins et toiles d'araignées...
Puis un jour, à l'orée d'une "dizaine surnuméraire" l'envie soudaine de ressortir du placard ces bribes d'enfance, ces éphémères, ces feux follets qui se faufilent par toutes les fissures de l'obscur à la lumière. Si le coeur vous "en chante", ne vous privez pas de dire ces textes à haute voix, alors les rideaux du petit théâtre s'ouvriront, vous monterez sur scène et votre deviendra celle de ses acteurs.
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Ceci est l'histoire d'une profession qui fut glorieuse et fit la renommée de Lyon dans le monde : la soierie, vocable bien timide, bien effacé aujourd'hui et pourtant....C'était bien pour notre pays une poule aux œufs d'or, parée du prestige de chaque mode nouvelle, garantie de goût et d'attrait, elle entérinait tout ce qu'on appelle à ce jour textile et ouvrait la porte de tous les pays. Fruit du travail et du génie de quelques générations elle n'a pas été défendue.Elle n'est plus qu'un souvenir, une ombre.C'est une perte de substance dans notre pays car la soierie n'était pas une ville mais une région. La valeur des sources de la soierie, composée de la tradition et des aptitudes de quelques familles et artisans, d'une documentation exceptionnelle répartie chez ces créateurs, d'un certain goût artistique mélangé à une certaine prescience de ce qui peut se renouveler, plaire et se vendre, de relations anciennes et renouvelées avec le monde entier, on fait la gloire des "soyeux".
Que reste-il de nos amours, comme chantait Charles Trenet ? C'est ce qu' a voulu raconter Jacques Valette dans ce livre : la chronique savoureuse d'une époque, les derniers feux d'une profession glorieuse.
Il laisse ainsi un précieux document historique et familial pour les générations futures soucieuses de mémoire. Les souvenirs ne devraient pas ainsi disparaître et tomber dans l'oubli.; ce livre ce sont des pages d'aventures vécues aux quatre coins du monde, des descriptions courtes, précises et colorées ; chacun en prend pour son grade. Ce n'est pas à proprement parler le style lyonnais, tout en retenue mais il écrit comme il parle, sans détour ni périphrases ; certains sont habillés pour l'hiver, ce livre est un catalyseur à souvenirs.
Ce livre s'apparenterait à "Ciel de suie", d’Henri Béraud, concernant ses confrères : …"des Crésus envieux comme des parents pauvres, ils sont de ceux qui croient toujours que leur fortune dépend de la ruine des autres"…
Les lecteurs découvriront à travers cette profession qui a mobilisé tant de compétences, le parcours singulier d'un voyageur, reporter témoin de son temps.
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