Aussi loin qu'elle s'en souvienne, Joëlle n'a su qu'aimer lire et écrire.
Durant toute sa scolarité le français était Sa matière ! Sa grande affaire.
Après un bac doté d'une mention presque uniquement due à ses notes obtenues l'année précédente au bac français. Elle se maria et entra tout naturellement en fac de lettres, là elle lût, beaucoup, écrivit beaucoup pour dire son amour de l'écriture des autres, des grands qui lui avaient ouvert le chemin. Cinq ans après, une maîtrise de lettres en poche et deux enfants à la maison, elle se dirigea vers la publicité où elle continua à écrire mais cette fois des slogans pour vanter, pour vendre des produits, ceux que ses clients annonceurs lui confiaient. Puis elle retourna pendant trois ans à ses amours littéraires en enseignant le français et pendant trois ans elle tenta de transmettre son amour des mots et des lettres à des collégiens.
Tâche difficile qu'elle délaissa au bout de trois ans pour écrire encore mais cette fois des livres, c'était en 1998 et depuis plus de 14 ouvrages sont nés de sa plume. Six romans, quatre recueils de poèmes, deux livres d'art, deux livres pour enfants et un illustré.
Chaque livre est pour elle comme Joëlle Vincent, toute une vie à lire et à écrire.
un bébé qu'elle porte longtemps et qui vient au monde chez l'imprimeur qui lui donne une réalité de papier et de couleurs, beaucoup de ses ouvrages ont vu le jour sur les presses de grafficus/ Vassel et ces mises au monde littéraire ont toujours été une réussite heureuse grâce à une collaboration lumineuse et amicale.
Pourquoi avoir choisi Grafficus ?
J'avais besoin tout à la fois, d'un excellent imprimeur, pratiquant des prix accessibles à l'auto-édition, d'un conseiller avisé et obligatoirement sur place, à Lyon. J'avais édité mon premier livre avec un bon imprimeur du Sud-Ouest, mais la distance, les nombreuses communications téléphoniques, les tests et les essais de mise en page, les incompréhensions concernant les couleurs et la couverture s'étaient révélés très délicats. Je reconnais être assez perfectionniste mais un livre et ses neuf mois de gestation, c'est comme un enfant, il doit être parfait! Avec Grafficus, je pense avoir trouvé ce que je cherchais pour mon dernier ouvrage dans l'ensemble de ces domaines.
Comment s’est déroulé votre premier contact avec Grafficus ?
Sur le conseil d'un ami qui connaissait l'entreprise, la qualité de ses matériels et le dynamisme de son PDG, j'ai passé un coup de téléphone, suis tombé sur Monsieur Pierre Bertrand dont la chaleur de l'accueil m'a séduit. J'ai convenu d'un rendez-vous avec lui, pris mes premières épreuves sous le bras ainsi que ma clé USB et tout est parti de là. L'attention, le calme et le professionnalisme de Monsieur Bertrand et de son équipe de graphistes ont fait le reste.
Parlez-nous de votre ouvrage
Depuis une dizaine d'année j'écris une courte histoire, mensuelle, une nouvelle, une chronique historique, politique ou d'aventures pour les retraités de la grande Société dans laquelle j'ai passé une bonne partie de ma vie. Deux impératifs : être passionnant ou, à défaut, intéressant et ne raconter que des faits véridiques (d'où l'appellation de "chroniques" !). Vous imaginez donc que mon PC regorge de mes histoires passées. Poussé par quelques amis, j'ai donc décidé d'en rassembler une vingtaine en un ouvrage intitulé "Curieuses Histoires du XXe siècle"
Quels sont vos nouveaux projets ?
Ils sont multiples ! Je poursuis mes écrits mensuels que j'ai la faiblesse de considérer comme de plus en plus originaux et aboutis, un second volume des "Curieuses histoires" me tend les bras. Encore faut-il que je trouve le temps et les moyens financiers nécessaires pour le choix, l'adaptation du format et la mise en forme de ce futur bouquin!
J'ai un autre projet sur lequel je travaille d'arrache-pied et qui s'éloigne de la chronique historique. Il s'agit de nouvelles modernes, plus fouillées psychologiquement mais peut-être moins palpitantes (quoique ?) et qui s'intitulera : "Tranches de vie" - Objectif 2017, si l'une de ces grandes nouvelles ne se transforme pas en roman...
Qu’attendez encore de chez Grafficus ?
Oh, beaucoup de choses, si cela est possible! Nous autres auteurs en auto-édition, nous avons absolument besoin de vendre nos bouquins, d'abord parce qu'ils sont bons, que nous les avons financés et pour satisfaire "la reconnaissance de soi" dont chaque créateur a besoin!
Pour cela, deux solutions :
- soit trouver un éditeur, ce qui est quasiment impossible dans ce monde où nous sommes isolés, loin des milieux littéraires et, personnellement, je ne me sens plus la ténacité d'envoyer de multiples manuscrits à de multiples éditeurs alors qu'il me reste si peu de temps pour écrire.
- soit des débouchés locaux de commercialisation (type Décitre, FNAC et autres...) où nos bouquins pourraient enfin être vus, palpés, parcourus et peut-être achetés. C'est dans ces endroits que des services comme Grafficus et des personnalités comme Pierre Bertrand et Philippe Malaval, qui ont beaucoup plus de poids et de contacts que nous n'en aurons jamais, pourraient vraiment nous aider.
A bon entendeur...
De surcroît, sur l'aspect "préparation" de chaque livre (je ne parle pas de son écriture, bien entendu) mais des phénomènes de lecture/relecture, de la mise en page (passage d'un A4 à un A5, définition de la police, de son poids, des marges gauche, droite, haute, basse, de la numérotation des pages, des textes de haut et de bas de page, de la couverture, du 4e de couverture, etc, etc...
Tous ces phénomènes qui me prennent personnellement plusieurs semaines, pourraient être grandement améliorés par un professionnel Grafficus, quitte à faite l'objet d'une facturation annexe de Services.
Je vous remercie de m'avoir permis de m'exprimer librement
Michel Décot-Albert (11.2016)
Exposition du 09/11/16 au 18/11/16
Pour en savoir plus, suivre ce lien :
http://6xj9.mjt.lu/nl2/6xj9/1qiv4.html
Après avoir connu un énorme succès l’année dernière pour son lancement, l’édition 2016 est venue confirmer tout la réussite pressentie pour ce salon. Sans discontinuer, de très nombreux visiteurs s’étaient déplacés à la rencontre des écrivains : à en croire les avis, chacun fut enchanté des échanges réciproques.
Comme à chaque fois, nous avons été très fiers de retrouver des auteurs « grafficus » …
Ali MEBTOUCHE
Delphine HOPITAL
Gabriel NOVA-PARADIS
Jean-Paul GAYOT
Marie GARNIER
Maurice REVELLI
Mireille LUBAC
Robert PUTINIER