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Grafficus, auto-édition, imprimeur de livres

Marc Tudor, chirurgien esthétique, reçoit un jour, en cadeau du ciel, le don de transformer les hommes et les femmes les plus laids en divines créatures.

Malheureusement, dans sa jeunesse, il a, par jalousie, défiguré la femme qu’il aimait.

Il a vingt ans pour réparer sa faute. Passé ce délai, il perdra son don et tous ceux qu’il aura opérés, reviendront à leur état initial.

Parmi les patients du professeur, on suit le combat de quatre jeunes femmes, confrontées à la laideur, et qui vont connaître, grâce à Tudor, le bonheur absolu, puis vivre le cauchemar de tout perdre.

Parviendront-elles à lever la malédiction Tudor et à retrouver leurs rêves engloutis ?

C’est tout le sujet de ce roman qui navigue aux frontières du fantastique, tout en peignant des sentiments bien réels.


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L’existence chaotique d’un être privé d’identité, qui traîne à longueur de beuveries un secret bien trop lourd. Et, à ses côtés , une femme éperdue qui tente de démêler l’écheveau de la nasse infernale qui l’emprisonne.

Secrets de famille, non-dits, meurtres et mensonges sont autant d’obstacles qu’elle devra surmonter pour rendre à l’homme qu’elle aime, sa vérité.


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Grafficus, auto-édition, imprimeur de livres

As-tu déjà rêvé de faire un beau voyage à travers le temps et les continents ? Impossible ! Me diras-tu. On ne peut pas voyager dans la passé. Pourtant, ce n’est pas si compliqué. Inutile d’avoir une machine, il suffit simplement de trouver : un ami éléphant, une cabane, un ordinateur, un bâton.

Tu veux en savoir plus ? Alors tourne vite ces pages et viens vivre le plus incroyable des voyages avec Mousson, petit éléphant savant, et sa joyeuse bande d’amis !


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Grafficus, auto-édition, imprimeur de livres

Que s’est-il passé concernant l’évolution de la guerre depuis ce 3 août 1914 ?

L’invasion allemande de la Belgique a d’abord été l’événement marquant, les belges se battaient courageusement et nous permettaient de gagner du temps pour notre préparation aux combats. Nous leur devions notre concours.

Les russes s’engageaient sur le front d’Europe du nord mobilisant des forces ennemies.

Mais hélas, notre impréparation, dans tous les domaines était trop grande, tout devait être revu et réformé, jusqu’à la préparation de notre encadrement supérieur.

Nous avons eu la chance d’une faute de stratégie du kronprinz qui nous a évité de perdre la guerre en cessant notre repli et en repoussant nos ennemis au Nord.

Le sang a généreusement coulé en 1915, les combattants se sont enterrés de part et d’autres. Des armes et des tenues nouvelles sont venues. L’armée belge et les premiers éléments anglais formaient front à nos côtés.

En 1916, les allemands avaient trop hypothéqué l’effet de surprise et de leurs forces.

Ils n’avaient pas, non plus, présumé de la résistance et du courage de nos poilus, ni des renforts que nous pourrions recevoir lorsqu’ils ont voulu « saigner l’armée française », à Verdun le 21 février 1916. Malheureusement les anglais étaient encore en situation de faiblesse lors de l’offensive qu’ils ont lancée le 1er juillet 1916.

Le changement de généralissime, de Joffre par Nivelle n’a pas répondu aux espoirs que certains avaient de voir cesser les combats inutiles et sanguinaires. Ce fut la bataille du Chemin des Dames, puis la venue aux premiers plans de généraux d’armées mieux préparés comme Pétain et Foch. Enfin l’équilibre des forces allait changer du fait de la révolution russe en marche et surtout par la décision des Etats-Unis d’entrer dans le conflit.

A nouveau les tranchées ont retrouvé pour un temps l’intérêt que, des deux côtés, les chefs leur portaient, mais pour agir sous forme de « coups de poing ». Les allemands s’appuyaient sur la ligne « Hindenburg », pressés de recevoir leurs dividendes du Traité de Brest-Litovsk avec la capitulation de la Russie.

Nous allons suivre les dernières offensives de 1918 aux côtés de tous ceux qui y ont participé.


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Virieu-le-Grand à Saint-André-le-Gaz
Bellegarde-sur-Valserine à Divonne-les-Bains
Bourg-en-Bresse à Chalon-sur-Saône
Ambérieu-en-Bugey à Montalieu-Vercieu

Gérard Joud, cadre Traction honoraire de la S.N.C.F., Président du Musée du Cheminot d’Ambérieu est un passionné d’histoire ferroviaire régionale. Par affection pour son métier, il a été amené à s’intéresser à la vie des cheminots, mais également au monde qui les entoure.
A la suite du tome 1 “ L’Étoile ferroviaire d’Ambérieu ” dans lequel sont décrites les lignes rayonnant à partir d’Ambérieu et du tome 2 “ Ambérieu cité cheminote ”, il nous propose aujourd’hui le tome 3 “ Au fil des lignes oubliées ”. Dans ce dernier ouvrage terminant la trilogie “ Voies ferrées de l’Ain ”, de 320 pages, abondamment illustré par 366 documents la plupart en couleur, il nous offre le résultat de ses minutieuses recherches.

Bien plus qu’un ouvrage technique sur les chemins de fer, AU FIL DES LIGNES OUBLIÉES résonne comme une invitation au voyage dans notre beau département de l’Ain. Toutes les personnes intéressées par l’histoire régionale trouveront dans ces pages des renseignements, des révélations, parfois des confidences de l’auteur car il n’hésite pas à dévoiler ses sentiments. Et certainement des réponses à l’attente légitime des lecteurs sur l’aspect confidentiel concernant l’évolution des transports dans l’Ain. Ces voies ferrées construites avec ferveur et opiniâtreté par des pionniers animés de la certitude d’oeuvrer pour l’éternité nous serviront de fil conducteur, de guide, de prétexte pour villégiaturer comme le faisaient nos aînés. Au front des rails infinis, l’auteur vous convie à une balade cheminote bien entendu mais où l’attachement aux populations rencontrées transparaît à chaque page.
Parcourir ces pays de l’Ain, sillonnés de voies ferrées délaissées, c’est aborder la région avec un regard empreint de sagesse et d’humilité. Certaines contrées restées à l’écart des grands itinéraires touristiques seront de toutes nos attentions. Quant aux Hommes, s’ils ne sont de toutes nos pages, ils ne seront jamais loin des sentiments profonds que nous leur portons. Amis lecteurs, en parcourant le premier chapitre, vous pénétrez dans le Bas-Bugey et vous voici confrontés à une nature verdoyante et contrastée, aux charmes désarmants. La région se partage entre forêts, marais, combes, cascades, fleuve et rivières, entourée de sommités modestes se miroitant dans des eaux peuplées d’elfes. Les habitants ont l’âme et le coeur généreux, ils ont su tirer le meilleur parti de cette nature.
Que ceux qui se plaisent à vadrouiller sur les cimes jurassiennes en surplombant des paysages sublimes se reconnaissent dans le deuxième chapitre : vous allez aimer le Pays de Gex. Qu’il étale ses richesses sur le piémont du Jura ou qu’il ose défier le Genevois si attirant, sirène des temps modernes, il ne vous laissera pas indifférent.
En pénétrant en territoire bressan par le troisième chapitre, vous apprécierez la Bresse profonde, parfois secrète mais toujours accueillante à l’image de ses habitants. Pays de bocage et d’eau, vous ressentirez ici des émotions de l’ordre de l’intime, quelque chose de fort. Il faut parfois un peu de temps pour saisir cette région mais il convient d’insister. Alors, vient l’heure où l’on comprend la Bresse.
Il nous restera finalement à traverser le Bugey conté dans le quatrième chapitre.
Le promeneur d’autrefois, reconnaissable à son habillement et à sa façon de marcher avait une fonction : il se promenait. En clair, il savait s’arrêter, regarder, contempler, rêver. Alors faisons comme lui !
Et nous allâmes, au travers de toutes ces contrées, comme disaient si élégamment les chroniqueurs d’autrefois. Aucune ne vous laissera le coeur intact. Ni la mémoire.


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