Ce récit est écrit en de nombreux épisodes cachant ses jardins secrets, ses non-dits et ses frasques. J’ai choisi de l’illustrer de textes, d’extraits de pièces de théâtre et de paroles de chansons. De poèmes aussi repris de mon recueil « Les chevaux ailés », écrit et édité en 1976. Humeurs sombres ou rieuses, nostalgiques aussi.
Autant de couleurs jalonnées dans ma vie.

Marie Céline


Pour en savoir plus, suivez ce lien catalogue

Pour beaucoup, la pâtisserie est signe d’excès car trop calorique et trop grasse bref, elle ne nous ferait pas de bien. On culpabilise.

Dans une part de gâteau traditionnel, il y a entre 300 et 450 calories. Une part de gâteau des recettes de cet ouvrage contient environ 80 à 120 calories.

La « pâtisserie qui vous veut du bien» vous propose 40 recettes gourmandes dans lesquelles j’ai supprimé tout sucre ajouté, diminué ou supprimé le beurre, remplacé la crème fraiche, introduit l’huile d’olive, les graines, et surtout, j’ai utilisé les fruits et les légumes comme de véritables ingrédients de base et non uniquement comme éléments de décoration. Ainsi le gâteau possède-t-il une douceur, une saveur et des arômes naturels.

En somme, une grande variété de produits de la nature. A nous les farines de maïs, de châtaigne, de lúcuma, de riz, les fruits des 4 continents, les patates douces, la betterave, le navet, l’avocat, la courgette, la tomate, l’oignon, le poivron, le poireau, l’avoine, l’huile d’olive et, bien sûr, le chocolat noir, etc… pour « pâtisser autrement ».

Ainsi pourrez-vous dire : « j’ai préparé un bon dessert qui vous fera du bien » comme vous dites : « j’ai préparé une bonne soupe qui vous fera du bien »

Prenez ce livre comme étant un tremplin pour développer vous-même mille et une autres recettes.

Faites-vous plaisir !!!


Pour en savoir plus, suivez ce lien catalogue

Bernard Sestier est né à Voiron (Isère) en 1936. Il a fait sa carrière dans le Bâtiment et les Travaux Publics. Retraité depuis 1994. Il parcourt, tant l’hiver que l’été, les montagnes dauphinoises, écrit des poèmes, et vient de signer avec le vieux moulin du Cabestou, son premier roman. Une ode au monde paysan, dont il en revendique ses racines. Il s’adonne aussi à la sculpture sur métal. Son fils, guitariste amateur, met en musique certains de ses poémes. C’est lui qui l’a convaincu d’écrire ce livre.

J’ai hérité de ma grand-mère paternelle, un peu de sang paysan, et j’en suis fier. J’ai des affinités profondes avec des cousins cultivateurs et éleveurs de moutons. Ils me font partager leur passion pour ce milieu très dur. Le roman que j’ai écrit est un juste retour des choses, une histoire du terroir provençal où la terre joue un rôle primordial, où le sordide côtoie l’amour familial, l’amour tout court, et les affabulations, les aventures burlesques de protagonistes, qui tiennent une grande place dans ce livre. Puissiez-vous éprouver autant de plaisir à le lire que j’en ai eu à l’écrire.


Pour en savoir, suivez ce lien catalogue

Mais à l’assommant récit de voyage qui n’aurait intéressé que mes proches, j’ai préféré la fiction. Fasciné par ce formidable pays que sont les USA, j’ai revisité à ma façon les clichés qui jalonnent son histoire, glissant ça et là quelques anecdotes personnelles. On retrouvera dans ces pages un détective privé… de son pied gauche, (prénommé Zlatan!), Los Angeles, Las Vegas, Flagstaff, la Route 66, une belle voiture, une plantureuse belle blonde, une brune astucieuse et piquante, des chevaux, il en fallait, les grands espaces et la musique de Neil Young. De ces ingrédients, j’ai concocté cette histoire où comme dans les films hollywoodiens, l’intensité dramatique n’est pas étrangère à l’intrigue.

Auteur de nombreux ouvrages autant policiers (Éditions Astoure) que de romans de terroir (Âpre Vercors aux Passionnés de Bouquins), historiques (la trilogie remarquée « Un cheval pour la vigne » aux Éditions Saytine) ou biographiques, Bernard de Fonclare nous livre ici ce qu’il appelle son « petit roman américain ».


Pour en savoir plus, suivez ce lien