Le bivouac de fortune sur les pentes supérieures de l’Everest risque d’être angoissant. Et, vous n’allez pas non plus aimer ce périple dans le désert des Mojaves en Californie. Quant à cette balade dans la forêt d’Aokigara Jukai au pied du Mont Fuji, sera-t-elle du même acabit ? Peut-être pas ! Ce que je sais, c’est que ce voyage à travers ces douze histoires vaudra son pesant de solitude et d’émotions. Il y aura des doutes, des cris de souffrance, des larmes, mais aussi un peu de rêve et de poésie, un peu de ma vie aussi.
Le ciel sera très souvent paré de sa robe sombre, alors il vous faudra chercher les étoiles au milieu de la tempête. Et, si la réflexion est profonde, lumineux et moins ténébreux sera le chemin. Il se pourrait même qu’il vous plaise.
Né en 1972, Thierry d’Arcy est un auteur Lyonnais, originaire de Gap, dans les Alpes du Sud. Lecteur assidu et attentif de l'oeuvre de Roger Frison-Roche, l’escalade et la haute montagne vont devenir son oxygène de vie pendant près de vingt ans. Guidé par l’inaccessible volupté d’un monde composé d’émotions vives, de rêveries solitaires, d’ivresse des hauteurs et d’émerveillement, il fit de belles rencontres et deviendra un alpiniste confirmé. Plus tard, influencé par « Les Contemplations » de Victor Hugo et les récits d’auteurs si chers à son coeur comme Jean Giono et Marcel Pagnol, il s’essaiera à l’écriture, à la poésie et aux nouvelles. Ce premier recueil est le fruit de ces rencontres et de son histoire personnelle.
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BLOG : https://thierrydarcy.wordpress.com/
Une question m’a été posée aujourd’hui, comment m’était-il venu l’idée d’écrire ce recueil ?
Je répondrais en racontant cette histoire. Il était un jeune garçon qui au cours de ses premières années connu de graves problèmes de santé. A l’aube de son adolescence, des personnes passionnantes commencèrent à changer sa vie et à en faire un conte de fées, lui offrant la possibilité de se sentir enfin vivant, de combattre ses problèmes, de fuir ses angoisses, de s’épanouir, de profiter de la vie tout simplement. Grâce à elles, il surmonta ses démons noirs. Il y eut les copains d’école qui devinrent ses coéquipiers d’escalade et d’alpinisme, un prof, un guide, des amis, des potes, qui contribuèrent à faire de sa vie un chemin étoilé. Il les appela ses douze apôtres. Malheureusement les douze sans exception partirent tragiquement en l’espace de vingt ans, pour le laisser définitivement seul sur cette route. Alors qu’il avait déjà pris sa plume depuis longtemps, il se rappela l’enseignement qu’il avait reçu d’eux, « même après la nuit la plus sombre il y a toujours un lendemain plus lumineux ». Il s’en est sorti ainsi, en pensant à tout cela.
Ce recueil à la finalité tragique dans son ensemble est un condensé romancé de ses rencontres, de ses doutes, de ses peurs, de sa vie, parfois de ses rêves, de ses espérances. Il a su cependant apporter cette nuance dans ces écrits pour mener une réflexion sur la vie et ses noirceurs, ses souffrances, mais aussi ses petits bonheurs, sa poésie. Certaines de ces histoires lui rappellent les personnes qu’il a connu, elles y font référence.
Pour l’auteur, les fleurs seront toujours aussi belles au printemps, le lever de soleil sera toujours aussi beau quelle que soit la saison, la lune pleine toujours aussi resplendissante, le ciel toujours aussi bleu même en hiver. Le lampadaire ne s’éteindra jamais.
Comme disait un vieux sage : » Dehors, il pleut, il vente, il neige. A l’intérieur de ce récit aussi. Ne craigniez pas cet écrivain fou, il vous aimera toujours ».
Thierry d’Arcy
L’histoire de ces familles rurales modestes de la Dombes et du Beaujolais au milieu du XIXème siècle serait banale si l’une n’était pas proche de Claude Bernard, 1’éminent physiologiste et une autre dans l’intimité de Jean-Marie Vianney, le Saint curé d’Ars.
L’auteur, descendant de ces familles, nous fait découvrir leur quotidien dans l’entourage de ces grands hommes.
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« Rencontre de langages » est l’alchimie d’une amitié poétique, une invitation aux voyages.
Au fil des pages, nous découvrons que si l’on prenait une heure à recoller le temps, nous pourrions voir des reflets d’arc en ciel, des poussières d’étoiles, une libellule ballerine, un flocon d’écume qui s’évapore, la fuite sans fin des nuages, le ciel porteur des saisons, porteur de promesses avec un matin en robe de printemps où le ciel et le soleil sont heureux, le sourire pâquerette coquelicot ou herbes folles, un été porcelaine, un baiser de papillon, l’automne fleuri de ses ors écarlates et l’hiver avec ses frimas soufflant le murmure du temps, qui neige qui met sous son édredon les primevères, la grisaille qui devient chef d’œuvre. Nous pourrions entendre des bruissements d’ailes, un bourdon de conversations, la légende du vent, la révolte des éléments et les oiseaux qui chantent des arias.
Nous avons pour compagnon de voyage le ciel qui nous emmène à la rencontre de promeneurs infatigables, rêveurs intarissables, pianiste, joueur de violons, de sœurs en robe de flocons de lune, de beaux chats voluptueux, d’ange gardien, de douanier, de jardins fleuris, de pavillon chinois, de rue, de ville, de pays, de passion, de tendresse, de souvenirs et de vie.
Laissez-vous voguer et naviguer sur l’onde des songes, sur des rayons de lune aux chemins de vos rêves et que vos rêves s’en aillent enlacer les nuages que le soleil illumine.
Musardez.
Et comme le disent si bien tous ces poètes : J’écris et que ces quelques mots comme de fraîches roses deviennent ce bouquet à offrir pour bâtir un solide édifice appelé l’AMITIE.
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Paulette Grondier raconte ici ses souvenirs de la Seconde Guerre mondiale qu’elle a vécue entre Lyon et le département de l’Ain.
Un récit riche en anecdotes d’un quotidien authentique, où la guerre reste présente à chaque instant.
Et les rutabagas, ces fameux rutabagas, cuisinés comme on pouvait, qui furent la base des repas de chaque jour...
« Sans eux, que serions-nous devenus ? »
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Sise à Pierre-Bénite, l'association Ecriture Plurielle s'est lancé le défi d'une expérience collective inédite avec l'appiu du comité culturel du Fonds de Participation des Habitants : vivre ensemble l'autoédition d'un livre de A à Z, depuis l'angoisse de la page blanche jusqu'à la diffusion de l'ouvrage. Pour cette première aventure, un thème très large était choisi : la Pierre et la Plume, qui décline en symboles le nom de la ville et le défi d'écrire. C'est un pré-texte pour s'exprimer et s'imprimer.
Acrostiches, thèmes imposés, contes de fées, coin des poètes et coulisses d'un atelier illustrent ces entraînements du quotidien, souvent ludiques, puisque l'écriture est un laboratoire.
Exploration du sens, génie de la langue et fanzine montrent combien nos lectures nous inspirent , avec tout le plaisir de retrouver la saveur des mots.
Les enquêtes des vacances et d'autres temps & lieux résultent de nos expériences d'écriture plurielle à deux voix, quatre mains et plus encore.
Les mots qui dessinent l'avenir, qui changent la vie, qui disent l'idéal apparaissent enfin dans les messages cachés et textes à clefs.
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