La suite de L’Étoile de Massada (1er tome de la saga) commence en 136 (ère commune) avec les obsèques du dernier Empereur, Titus, au cours desquelles le Sénat de Rome proclamera le retour à la République, un ensemble fédéral de 12 Républiques provinciales appelé « La Grande République », qui met fin au statut impérial et à son système colonial.
Mais cela ne se passe pas sans mal. Elisheva, la seconde Éternaute, devra recourir aux dons acquis par son passage dans la dimension quan- tique pour l’emporter sur les partisans du retour à l’Empire. Elle sera aidée dans cette mission par son fils adoptif, Marc-Aurèle, qui devient une des grandes figures de la nov’histoire.
En 139, conformément à sa « feuille de route », elle s’embarque pour le continent américain où elle doit fonder les Républiques du Nouveau Monde. Mais là encore, de terribles et surprenants dangers la guettent, particulièrement dans sa confrontation avec l’Empire maya, alors en pleine expansion.
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Nous sommes en 2085, sur la planète Terre.
Les scientifiques découvrent avec une terreur grandissante qu’un Prédateur, venu des profondeurs de notre galaxie et animé des intentions les plus hostiles, s’approche à une vitesse vertigineuse de notre système solaire. Ses connaissances technologiques semblant nettement supérieures aux nôtres, la fin de l’autre monde et de l’espèce humaine semble fatale.
Un Conseil de crise est alors réuni dans l’urgence. Et le verdict tombe, implacable : la technologie humaine accuse un retard de cinq siècles par rapport à celle de l’ennemi surgi de l’univers intersidéral...
La seule solution, pour la survie de l’humanité, consisterait à dépasser les connaissances du Prédateur afin de le contrer dans son entreprise dévastatrice. Et pour ce faire, une idée se fait jour, qui va devenir « la seule issue possible » : remonter dans le passé, grâce aux avancées de la mécanique quantique, afin d’infléchir le cours de l’Histoire.
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Il y a des affaires qui sentent le gaz. La bataille que se sont livrée Russes et Ukrainiens pour cette ressource naturelle tant convoitée a fini en 2010 par un accord de partenariat au travers d’une « joint venture » entre les deux belligérants. Mais, après l’annexion de la Crimée par la Russie et les événements tragiques en forme de guerre civile du printemps 2014, ces derniers montrent que le problème politique reste toujours vif et éloigné d’une solution démocratique.
Dans ce contexte les personnages de ce roman se débattent au milieu de barbouzes qui s’opposent à certains humanistes et amateurs d’art qui préfèrent donner un sens à leur vie plutôt que de se complaire dans les guerres froides du passé qui ne grandissent pas les hommes et rendent l’atmosphère glaciale et complètement stérile.
Les personnages de Michel-Jean COMBAZ évoluent dans ce monde des affaires et de la «Révolution orange», fait de négociations délicates, de suspenses, de compromis dans lesquels l’attentat et l’enlèvement crapuleux sont le quotidien ; ils évoluent également dans une atmosphère empreinte d’humanisme et de bonheur parfois inattendu, et cela dans tous les secteurs du globe jusque sur les glaces du continent Antarctique.
Les efforts et les travaux conjugués de tous les humanistes du monde conduiront-ils à la découverte d’une méthode révolutionnaire qui bouleversera la médecine moderne ? Peut-être !
Maman et papa souris, ne cessent de dire à leur petite souris qu’elle est la plus belle.
Pourtant, la petite souris V’rett est triste, elle ne comprend pas pourquoi toutes les autres petites souris de son âge sont blanches ou grises.
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Ce travail est une Déclaration d’Amour à la France, inspirée par une pub qui annonçait : 7 jours sur 7 Darty est à votre service, où le 7 jours sur 7 était composé avec les plaques routières des Communes de Sète, Jours, Sure…
Sur cette idée originale, les noms de Tours, Fougères, Cassis, Orange, Menton, viennent aussitôt à l’esprit : on épluche alors l’index de l’atlas routier et on en trouve beaucoup d’autres, qui montrent une étonnante faculté à être groupés par thèmes, constituant la Table des Matières… et le fil conducteur de ce travail !
Craignant le bateau (toute cette eau en dessous !) et redoutant l’avion (mais comment ça tient là-haut ?), j’ai donc pris le volant et sillonné la France profonde… plutôt que de courir la Chine ou le Chili !
Présentés par ordre alphabétique, il y a 40 thèmes dans lesquels les photos de 2.300 Communes sont groupées par genre et assemblées de manière amusante, dans la mesure du possible (Mons Père Etais Maire de Mamers…) et en joignant un commentaire utile, une référence didactique ou une anecdote liée à la collecte, et quelques photos personnelles faites lors de ces tournées !