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Les aquarelles de la littérature
Depuis un coin de notre esprit, les idées jaillissent comme l'eau d'un torrent impétueux. Le temps nous manque pour les travailler, pour laisser leur cours jusqu'à leur(s) terme(s) et que s'élabore un roman-fleuve. Il faudrait pour cela plus d'une année. Traduire rapidement ces idées bouillonnantes dans une brève histoire et les fixer sur le papier en moins d'une heure, à l'image d'une aquarelle en peinture, telle est l'origine et la forme de ces "aqualettres". Poétiques ou humoristiques, elles devraient surprendre le lecteur curieux et elles veulent le convaincre de porter sur les objets ou les situations un regard décalé pour enchanter un peu son quotidien.
Nicolas Millet, docteur en sciences sociales, a travaillé comme directeur opérationnel dans plusieurs organismes publics. Il a tiré de cette expérience une vision des interactions humaines qui l'ont convaincu qu'il n'y a pas de tâches sans attachement, mais également qu'il n'y a pas d'énergie et de sens pour bien exécuter ces tâches sans enchantement.
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Crois en tes rêves
Sans attendre qu'ils s'achèvent
L'espoir de vie, combat d'esprit...
Laisse-toi une chance...
Loin de toutes tes méfiances,
Garde tes espérances dans une certaine nuance,
N'abandonne pas tes rêves perdus au coin de la rue,
Sinon ton coeur en crève, garde toujours confiance."
En situation de handicap moteur, depuis ma naissance, je me déplace en fauteuil roulant électrique.
A trente-cin ans, je ne lâche jamais rien.
Diplômée d'un master de communication, ma passion est depuis toujours l'écriture.
Aurélie DECHAMBRE
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Dans ce dernier volet de sa saga roussillonnaise, l'auteur nous fait revivre les premières années du 20ème siècle, qualifiées facilement de "Belle époque". La société française eut pourtant à traverser de nombreuses difficultés, notamment la loi sur la séparation de l'église et de l'état et les tensions engendrées par l'affaire Dreyfus.
1906, une nouvelle crise viticole couve. Cette fois-ci, ce n'est plus le phylloxéra qui en est la cause mais la surabondance des vins du Midi. Cependant, à la ferme des Traimont, ce n'est ce qui préoccupe les habitants. Antonin a diversifié ses productions et la vigne n'est plus l'unique ressource de son domaine. Il s'inquiète plus de l'avenir de sa fille aînée, Justine. Pourtant belle et bien instruite, -elle a réussi son baccalauréat- la jeune femme peine à se trouver un mari. Satisfaite de sa vie à Vienne, elle se passionne pour la vie citadine et rêve de Paris. Cependant, une succession d'événement totalement imprévisibles feront resurgir les troubles du Midi dans son existence.
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Cet ouvrage répertorie quelques 800 sites sur plus de 350 communes de la Loire et du Rhône, dont près de la moitié comporte une topographie précise ; agrémenté de nombreuses photos, il permet de retrouver des lieux souvent oubliés que les « Anciens » vénéraient depuis longtemps: pierres, sources, promontoires… qui constituent des buts de balades dépaysantes dans un environnement proche et pourtant méconnu.
Né en 1952 à Tarare, Maurice Giraud a effectué sa carrière d'enseignant dans les Monts du Lyonnais et pour les 20 dernières années à Pontcharra/Turdine. Fervent laïc et libertaire, coureur des bois sur la trace des lièvres ou des champignons, amoureux des « vieilles pierres » et de leurs recoins mystérieux, menuisier, charpentier, maçon dans sa maison de Chambost-Longessaigne, apiculteur à ses heures, jardinier… : autant de facettes parmi bien d'autres pour le portrait de cet autodidacte dont la vie fut bien remplie.
Livre électronique
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Bien que les grands dissidents, tel le "Sakharov chinois", l'astrophysicien Fang Lizhi dont ce livre retrace l'action courageuse, s'éteignent peu à peu, d'autres, comme le prix Nobel Liu Xiaobo et l'artiste Ai Weiwei tentent de poursuivre leur action. Ces intellectuels et artistes engagés qui font campagne autour de questions fondamentales comme la protection de l'environnement et la sécurité alimentaire, sont systématiquement réprimés par le pouvoir et son système de justice arbitraire. Pour comprendre l'engagement du milieu culturel et scientifique et sa répression en Chine, il faut reprendre toute l'histoire du XXème siècle et, en particulier, celle de la période du Mur de la Démocratie (1978-79) jusqu'à la castatrophe du 4 juin 1989. Or, c'est précisément cette histoire qui risque de se fondre dans l'oubli collectif et volontaire, faute d'être racontée. Pourtant, le spectre de ce moment qui promettait une société plus ouverte et plus libre hante toujours la Chine ; les acteurs, les faits et les mots de cette période en passe d'être oubliée, constituent les fondements de la contestation actuelle du pouvoir, ainsi que l'espoir de l'avenir.
Ancien élève de l'Ecole d'Etudes Orientales et Africaines de Londres (SOAS), Gregory Lee a séjourné pendant plusieurs années à Pékin entre 1979 et 1990. Il a enseigné aux universités de Cambridge, Londres, Chicago et Hong Kong. Il est Fellow de l'Académie des Sciences Humaines de Hong Kong (HKAH) et Professeur des universités en études chinoises à l'Université de Lyon.
La photographie qui figure sur la couverture fut prise par l'auteur lors d'une rare représentation à Pékin de la pièce de théâtre WM (Nous) de Wang Peigong, qui racontait la perte d'idéalisme et le sentiment de trahison ressentis par les jeunes citadins ex-Gardes Rouges de retour de leur séjour forcé à la campagne. Son contenu jugé trop sensible, elle fut bannie le 8 novembre 1985, après seulement trois représentations
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